
Comment préparer un jardin : instructions étape par étape
Dessiner le jardin
L’espace dont nous disposons est important pour déterminer quelle forme donner à notre jardin.
Retrouvez dans ce test les comparatifs des meilleurs potagers sur pied.
Toute la structure que nous allons donner à notre parcelle à cultiver dépend de cette forme.
Traçons donc les allées, c’est-à-dire les allées que nous emprunterons pour passer entre les mottes de terre cultivées sans marcher dessus. Il y en a généralement une principale, qui est reliée à des passerelles plus petites pour accéder à toutes les parties du terrain.
S’il y a suffisamment d’espace, au moins la passerelle principale doit être conçue de la taille nécessaire pour permettre le passage d’une brouette.
Il est nécessaire de prévoir cette largeur, même au prix d’une réduction de l’espace pour les cultures – que l’on pourrait toutefois récupérer avec la culture en pots ou en pergolas.
C’est à ce stade que nous créons les parterres de fleurs à cultiver, aussi appelés parcelles. Chaque colis doit être accessible des deux côtés s’il est large, même d’un côté s’il est étroit et facilement accessible par nous.
Encore une fois, il faut tenir compte de la disponibilité de l’eau, qui doit toujours être garantie par du caoutchouc ou un système goutte à goutte.
Préparer le terrain
Sur quel type de terre allons-nous cultiver nos plantes ? Cela fait longtemps qu’il est immobile, les mottes de terre sont-elles compactes ou sont-elles cultivées depuis longtemps, de sorte que nous le trouvons déjà friable ?
Ce n’est là qu’une des questions que nous devons nous poser avant de commencer à préparer le sol.
Selon les conditions de départ, diverses opérations peuvent être nécessaires pour déplacer les mottes et briser les blocs de sol qui ne permettraient pas le passage de l’eau, ni un bon enracinement.
Afin de rendre le sol à nouveau meuble, il est possible d’effectuer des opérations de battage et de broyage.
Pour décider de ce qu’il faut cultiver, il faut aussi connaître l’état du pH du sol, sa nature (sableux, rocailleux, calcaire, etc…) et vérifier la présence de nutriments à l’intérieur, tels que phosphore, potassium et azote, généralement les plus impliqués pour la subsistance des cultures.
L’idéal, dans ce cas, est de consulter un agronome qui, avec son instrumentation, est capable de détecter toutes ces informations, surtout si le sol est totalement inconnu.
Si vous êtes en possession de ces informations, ou du moins d’une partie de celles-ci, vous pouvez choisir comment agir sur le sol avec une fertilisation contrôlée et des cultures adaptées à la nature du terrain.